Deux article sur la F1 en quelques jours, vous me direz que je deviens complètement fou, moi qui ne cesse de critiquer ce sport automobile. Sûrement car au fond de moi je l’apprécie et que je la voudrais plus juste.
Cette fois, retour sur une enquête de l’agence spécialisée dans le social media nommée OP1C et installée à Roubaix. Cette agence de communication indépendante revient sur l’un des bouleversements qu’a pu vivre le sport mondial ces dernières années : la résurrection de la F1. Car il faut l’avouer, depuis que Liberty Media est arrivé dans le giron de la F1, tout a changé. On a assisté à une tornade numérique, avec l’arrivée de la série Drive to survive diffusée et produite par Netflix, la naissance de l’e-sport et la prise de considération de médias sociaux. C’est sur ces derniers que OP1C a travaillé et l’enquête est à découvrir ci dessous. Et comme d’hab chez OP1C, c’est bien foutu! A lire!
Par la même occasion, je vous invite à lire le post linkedin de Lionel DAMM, directeur associé de l’agence OP1C, qui développe encore le sujet F1 et réseaux sociaux. En intro “Avec Drive to Survive, je suis retombé dans la folie F1 ! Et il faut dire qu’on est servi en social media.” On ne peut pas lui donner tort. La suite ici https://www.linkedin.com/posts/lioneldamm_lhistoire-folle-de-la-formule-1-et-des-r%C3%A9seaux-activity-6795297216484454400-lQXo
Bonne journée chez vous, et j’aimerais que Netflix s’intéresse aux 24 Heures du Mans, au WRC. Il y a quelques images incroyables à faire, mais peut-être pas une série aussi longue que « Drive To Survive ».
Jean-Charles
PS : la victoire de Pierre Gasly, lors du Grand-Prix de Monza 2020 aurait-elle dynamisé l’attrait des Français pour la F1 ? Possible. A lire, 24 ans 3 mois et 18 jours :