Street art : “Aguja” par Escif : le vaccin comme une arme face au coronavirus

“Aguja”, “aiguille” en espagnol. C’est le nom qu’a donné le street-artiste espagnol Escif à son œuvre réalisée sur un mur de Valence, en Espagne. On y voit un soldat, armé d’une seringue aux airs de bazooka. Datant de fin décembre dernier, cette œuvre trouve en ce mois de janvier toute son actualité, toute sa signification.

Utilisée comme une arme massive face au Coronavirus, le vaccin semble être la seule solution pour voir enfin le bout du tunnel. Une œuvre revendicatrice, une œuvre salutaire, dans laquelle l’art se place comme un porteur de message, un vecteur d’espoir. Bien joué.

Enfin, et contrairement à ce qu’on pourrait voir sur les réseaux, ce n’est pas Banksy qui a réalisé cet œuvre. Il n’est pas le seul graffeur sur terre. Il s’agit de l’Espagnol Escif, un artiste habitué aux messages et revendications. Vous pourrez suivre Escif sur les réseaux : sur Twitter et sur Instagram.

Bien le bonjour chez vous,
Jean-Charles

AGUJA, par Escif, Valencia, Espagne, décembre 2020.

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