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Pourquoi Alpine ne pourrait-elle pas aller en F1 ? (ou l’histoire d’un papier inachevé)

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L’histoire d’un article. En ce dimanche matin, je me lançais dans cet article : « Pourquoi Alpine ne pourrait-elle pas aller en F1 ? » quand dans l’heure qui suivait, alors que j’étais en pleine recherches sur le sujet, je recevais un sms de mon vieux copain Benjamin « Et Alpine en F1 l’année prochaine ! » A ces quelques mots, mon papier s’arrêtait là : je n’aurais jamais eu le temps d’argumenter que l’arrivée d’Alpine en F1 serait une bonne chose. Une arrivée certes marketing mais une arrivée tout de même. Alpine et Renault ne sont pas de petites marques dans le paysage du sport automobile mondial.

L’annonce vient donc d’être faite, Alpine arrive en F1 l’an prochain, remplaçant la marque Renault, et Luca De Meo, C.E.O Groupe Renault de compléter :

 Alpine est une belle marque, puissante et vibrante, qui colle un sourire sur le visage de ses adeptes. En lançant Alpine, symbole de l’excellence française, dans la plus prestigieuse des disciplines automobiles mondiales, nous poursuivons l’aventure des constructeurs dans un sport renouvelé. Nous apportons aussi une marque de rêve aux côtés des plus grands noms, pour des courses automobiles spectaculaires faites et suivies par des passionnés. 

Alpine amènera enfin ses valeurs dans le paddock de la Formule 1 : élégance, ingéniosité, et audace.

Luca De Meo, C.E.O Groupe Renault
Non pas de retour, mais une arrivée. Welcome Alpine.

Avec cette bonne nouvelle, il semblerait que l’avenir d’Alpine, de Dieppe soient pérennisés. Luca De Meo s’est rendu compte du pouvoir de la marque, de son passé, de son histoire et de sa rentabilité. Bravo.

Et si, à cela, on ajoute l’exceptionnelle performance de Manu Guigou lors du Rallye Mont-Blanc Morzine, une troisième place au général et trois temps scratch absolus, c’est la panacée.

Reste à voir ce que va devenir le programme Alpine en endurance, l’Alpine Cup en circuit, la compétition client en rallyes etc. Pour le moment, on va passer du jaune au bleu, on verra par la suite.

La marque championne du monde lors du premier championnat WRC, qui gagné sur tous les terrains, au Mans, en endurance, qui file maintenant vers la F1, l’histoire est belle et a du sens. Et il y aura toujours des réfractaires pour dire qu’Alpine n’a pas sa place en F1 : les courses historiques et musées sont faits pour eux.

Si mon papier est inachevé, Alpine, elle, a à écrire une nouvelle page de son histoire. Sans même partir d’une feuille blanche.

Bien à vous chez vous, bon dimanche,
Jean-Charles

Une réponse à “Pourquoi Alpine ne pourrait-elle pas aller en F1 ? (ou l’histoire d’un papier inachevé)”

  1. […] Alpha Tauri, merci de nous avoir remis au devant de la scène. Pierre, continue ainsi, Ocon et Renault ont à bosser, Haas a à écouter Romain Grosjean […]

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