Il faut le dire, la nouvelle DS 9 donne. Elle donne le change, le change d’un luxe à la française. C’est du moins mon avis. J’ai longtemps douté de DS, préférant toujours Citroën et son histoire. Mon avis sur cette marque nouvelle semble changer. Non pas que je préfère DS à Citroën, mais que DS commence timidement à être intéressante. La DS 3 première génération par Citroën fut un succès incroyable, un véritable succès pour ce qui était l’époque le label DS et non la marque DS mais aussi commercialement. Puis, pas grand chose ne m’a plus. DS 4 inutile et ratée, DS 5 bien à demi mot bien que voiture présidentielle, DS 7 trop gros, et DS 3 Crossback n’était qu’un SUV de plus sur nos routes. DS 9 semble, elle, changer la donne. Vers un nouvel étendard français ? Possible.
Je n’ai malheureusement pas été invité lors de cette révélation “studio” de la DS9, cette présentation plus officieuse qu’officielle, réalisée en remplacement du salon de Genève, annulé pour cause de Coronavirus. Mais, et c’est une bonne chose, des collègues ont été invités et ont fait le job à ma place, et ils l’ont bien fait. Alléluia. Je ne vais pas réciter, réécrire les vidéos présentées sur la toile et je vous invite donc à passer un peu de temps devant l’écran. Ce que je viens de faire.
Pour cela, deux registres catégoriquement opposés. D’un côté, je vous propose PlaneteGT TV (salut Kwamé!) et de l’autre POA, Petites observations automobiles. Ces deux médias nous présentent ici la DS 9 E-tense PHEV 225 en studio. Deux écoles de voir la chose, deux façons, afin d’avoir une lecture complète de cette berline à la française.
Cette DS 9 est prévue en commercialisation second semestre. Malgré une actualité chamboulée ces derniers mois, cela ne devrait plus tarder. La DS 9 me plait déjà. Le retour du luxe français semble sur le bon chemin. Et j’aimerais un break, aussi.
Bonne journée,
Jean-Charles